Une bonne part des contributions à l'histoire naturelle du pays provient de membres du clergé. L'abbé Léon Provancher, naturaliste autodidacte, identifie de nombreuses nouvelles espèces d’insectes et publie plusieurs ouvrages d’entomologie de même qu'un Traité élémentaire de botanique en 1858 et une Flore canadienne, parue en 1862 et qui fera longtemps autorité avant d’être remplacée en 1935 par celle du Frère Marie-Victorin. Il fonde aussi une revue savante en 1868 : Le naturaliste canadien.