Au tournant du XXe siècle, plusieurs jeunes médecins québécois vont parfaire leur formation dans les universités européennes et américaines où travaillent les grands maîtres de leur discipline. À leur retour, leur influence ne tarde pas à se faire sentir dans les institutions francophones : les écoles de médecine et les hôpitaux se dotent de laboratoires de bactériologie, d'anatomie pathologique et d'histologie.